Premier job, premier salaire, premières galères : et si on vous disait que les inégalités commencent bien plus tôt qu’on le pense ? Dans son essai coup de poing, Camille de Decker décortique le coût réel du sexisme. À mettre d’urgence entre les mains des 18-25 ans.
On croit souvent que le sexisme se manifeste à des postes à responsabilités, bien plus tard dans une carrière. Faux. Dans Le patriarcat me coûte un rein, Camille de Decker montre, chiffres à l’appui, que les inégalités commencent dès l’entrée sur le marché du travail. Les étudiantes cumulent les petits boulots mal payés, les stages non rémunérés, les dépenses liées aux règles ou à la contraception. Résultat : des milliers d’euros perdus dès les premières années de vie adulte. Une réalité qui reste souvent invisible, parce que banalisée.
Avec un style percutant, accessible et jamais culpabilisant, l’autrice parle aux jeunes comme à ses pair·es. Elle ne théorise pas : elle chiffre. Et elle explique comment le patriarcat se glisse partout, y compris dans un CV, une rupture de contrat ou un entretien d’embauche. C’est direct, drôle parfois, mais surtout salutaire. Pour toutes celles (et ceux) qui veulent comprendre les règles d’un jeu… qu’on ne leur a jamais expliqué.
Disponible aux éditions Beta publisher : www.betapublisher.com
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